Après Schällibaum viré, les «filiales» suisses ont-elles un avenir?
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Cette semaine, les «Trois quarts d’heure de C’te équipe» ont bousculé leur programme pour philosopher sur les investisseurs dans les clubs romands. SFC, SLO, LS, YS, Sion… Sans mécène, le foot de haut niveau est-il mort?
Il y a des jours comme ça, où on prévoit tout un chemin de fer pour son podcast et l’actualité chamboule tout à la dernière minute. On a appris le licenciement de Marco Schällibaum 9 minutes avant le début de l’enregistrement et la discussion entre Valentin Schnorhk et Florian Vaney du Sport-Center, ainsi que Daniel Romano, de blue Sport - le tout arbitré par Robin Carrel, a fini par ne tourner qu’autour de ce qui a engendré ce départ précipité, mais peut-être pas très étonnant.
Parce qu’on a aussi discuté de l’avenir du football suisse, qui semble s’inscrire dans une perspective de trading et de football business, avec pas mal de clubs filiales et de gros investissements étrangers. De quoi garder du sport de haut niveau dans le canton de Vaud, c’est vrai, mais pas en des mains vaudoises. Pour le moment, le public semble y trouver son compte. Pour le moment…
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Capitole
1. Marco Schällibaum viré?! (00:01:04)
2. Un avenir de filiale? (00:15:03)
3. Et le trading à Bâle... (00:32:28)
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